Pour bien choisir un métier et savoir où nous diriger. nous devons tout d'abord bien nous connaître. Dan le cadre du projet << 48 heures dans les bottines de...>>, j'ai dû mieux me découvrir pour parler ensuite de mes attentes sur ma future profession et de parler en profondeur de celle-ci

jeudi 5 mai 2011

Annexe B

Résumé de mon expérience:

Durant mon 48 heures dans les bottines de... j'ai eu l'occasion de suivre une technicienne en radiologie qui m'a faite visiter les nombreuses salles de radiographies, prendre des radiographies, analyser des cas spéciaux à l'aide des radiographies etc. Lors de ma seconde journée, elle m'a faite participé aux prises de radiographies et j'ai eu l'occasion de suivre 7 autres stagiaires qui finissaient leurs études.

Est-ce que la conception que tu avais de la profession correspondait à ce que tu as vécu en stage? En quoi était-ce différent ou similaire?


J'ai toujours eu en tête que le radiologue fesait des consultations et qu'il était beaucoup plus en contact avec les patients et j'ai été deçu en voyant que la moitié du temps ils sont derrière une vitre pour les protèger des rayons. Par contre l'aspect minutieux qu'il faut avoir m'a beaucoup surppris car pour avoir une radiographie claire le patient doit avoir un angle partiiculier. J'avais aussi la crainte d'être souvent seule mais ils sont souvent 2 pour prendre les radiographies donc j'étais encore une fois ravie. 

Qu'est-ce qui t'a le plus marqué dans ton stage?Pourquoi?

Le groupe de stagières que j'accompagnais devais subir leur examen final et ils avaient droit à une révision qui était le visionnement de vielles radiographies qui étaient des cas particuliers et j'ai été marqué par un certain cas car il est rare de voir un bébé momifié.


Qu'est-ce que tu as le plus aimé?Pourquoi?

j'ai adoré aider mon maître à la prise de radiographies car c'étais une première fois pour moi dans le domaine médicale et aussi voirque tu peux faire la différence dans la vie de certaines personnes.


Quest-ce que tu as le moins aimé?Pourquoi?

J'ai eu le malheur de voir un patient avec une tumeur au cerveau qui lui laissait environ 4 mois à vivre et c'étais son premier diagnostique.

Qu'est-ce que tu as appris sur la profession et sur le marché du travail?

J'ai appris que la profession de technicienne en radiologie n'était pas facile et que les études pour y arriver ne sont pas faciles. IL s'agit d'un métier où il ne faut pas trop avoir de compation mais il faut quand même avoir un minimum de sentiments pour appuyer les souffrants.


Est-ce que tu te vois pratiquer cette profession plus tard?Pourquoi?

Non je ne me vois pas pratiquer cette profession dans le futur car je recherche un travail sans routine et je veux êre beaucoup plus en contact avec les gens. J'Ai trouver que c'était insufisant pour moi d'avoir seulement à dire bonjour et aurevoir au patient.


À la suite de ce stage, quels sont les indices que tu gardes pour t'orienter professionnellement?

Je garde comme indices les moments où je trouvais le temps long et que le travail ne me motivait pas.


Quelles sont les autres démarches que tu prévois entreprendre pour trvailler à ton orientation prifessionnelle?

J'ai déjà commencer à faire des tests d'orientation pour voir dans quels domaines sont mes intérêts et mes aptitudes.

Présentation de deux métiers

Agente de bord


Detective

mardi 3 mai 2011

Préparation du stage

Pour commencer, je crois que je suis une personne très délicate et minutieuse. Les travaux minutieux ne sont pas des épreuves pour moi et j'aime que tout sois bien fait. D'ailleurs, je suis une personne qui s'applique dans tous ce qu'elle entreprend. Un travail que je commence doit être parfaitement terminé. De plus, je suis une personne trèse dynamique! La motivation n'est pas un problème pour moi et j'aime répandre ma bonne humeur. Par contre, je suis un peu impatiente, mais je crois que cela peut s'arranger avec un peu d'effort. De plus, j'ai quelques petits problèmes d'organisation.Pour ce qui est de mes intérêts, j'aime faire du sport, surtout les sports d'équipes.De plus, j'aime écouter de la musique et être avec mes amis.

Au niveau de mes attentes, j'en ai quelques-unes qui sont très importantes à mes yeux. La première est très simples; je dois être entourée de gens. Je dois travailler dans un milieu où je suis en compagnie d'autres personnes et où il y a une bonne ambiance de travail. Pour ce qui est du salaire, je dois avouer qu'il devra être convenable car je veux bien vivre. Par contre, celui-ci ne fera pas en sorte que je fasse un métier que je n'aime pas. De plus, j'aimerais exercer un travail qui s'adapte à une vie de famille à long terme.

En me basant sur mes goûts et mes habiletés, j'ai découvert que le métier de technologue en radiologie serait idéal pour moi. Ce métier consiste en fait à produire, à partir d'ordonnances médicales, des radiographies à l'aide de technique d'imagerie, tout en assurant la sécurité des patients, en vue de permettre au radiologiste de diagnostiquer la maladie et l'état du patient. L'horaire de ce travail est fixe et c'est surtout de jour. Pour ce qui est du salaire, je le trouve très respectable. Le minimum moyen est de 38 000 à 42 00 dollars et le maximum moyen est de 53 000 à 59 000 dollars. Il y a plusieurs points positifs qui m'ont marqués. Premièrement, il y a beaucoup de travail d'équipe et de collaboration avec le personnel médical, ce que je recherche. Deuxièmement, il y a un contact direct avec les patients, ce qui me plaît beaucoup. Par contre, nous sommes sur appel, ce qui veut dire que nous pouvons travailler parfois à des heures spéciales. Pour faire ce travail, il faut aimer travailler physiquement puisqu'un technologue en radiologie manipule constamment des choses, que ce soient des parties du corps ou des machines. De plus, il faut aimer travailler en contact avec les gens et le travail est très varié, ce qui est très motivant. une personne autonome, minutieuse et patiente peut très bien faire ce métier. Pour être technologue en radiologue, il faut un diplôme d'étude collégial en technologie de radiodiagnostic. Donc, pour exercer ce métier, nous n'avons pas besoin d'aller à l'université. De plus, il faut faire partie de l'ordre des technologue en radiologie du Québec.

Pour conclure, je crois vraiment que ce métier est fait pour moi. Les qualités requises concordent bien avec mes aptitudes et ce domaine m'intéresse beaucoup.

dimanche 1 mai 2011

Un Noël inoubliable

Nous étions le 24 décembre 2008 en soirée quand, j’ai entendu mon téléavertisseur vibrer dans mon sac. Nous fêtions Noël en grand cette année- là, car j’ai reçus on diplôme qui me certifiait radiologiste. J’ai donc pris mes jambes à mon cou pour, finalement aller voir qui m’a appelé. J’ai ouvert mes yeux et j’ais vus ; HÔPITAL ! Aussitôt, j’ai rappelé pour me faire dire de venir sur place car j’étais la seule radiologiste disponible le soir de Noël.

Sarrau blanc comme neige, gants aux mains, je suis rentrée dans la salle de radiographie quand j’ai vu deux jeunes filles gravement blessées. Ma tâche consistait à faire passer un scanner de leur colonne vertébrale, pour dénombrer leurs multiples fractures. Comme j'ai prévue, l’accident de voiture a causé, aux deux jeunes filles de 16 et 18 ans plusieurs fractures les mettant en danger de mort. Après un tour en salle d’opération, elles ont été admises aux soins intensifs car les dommages étaient non pas juste au niveau de la colonne vertébrale, mais le crâne a lui aussi été touché. À se moment, je me suis sentie atterrée. Savoir que s’est jeunes filles avaient un avenir détruit et que les parents avaient la terrible tâche de choisir leurs sorts. J’ai été encore une fois impuissante quand notre métier est de parfois sauver des gens ou de simplement les aider au quotidien, on se croit fort mais, quand quelqu’un ne suivi pas, c’est à ce moment qu’on voit nos émotions faire surface.
Une fois de retour auprès de ma famille, je me suis questionnée sur mon avenir en tant que radiologiste. À chaque fois que j’ai perdu un patient, j’ai été marquée par leur départ qui ont été parfois trop tôt. Après environ un ans j’ai pris six mois de congés non pas pour me reposer, mais pour faire le tour des écoles du Québec pour sensibiliser les jeunes aux dangers de la routes car les deux jeunes filles n’ont pas eu la même chance que les autres ados qui, à cette heure, profitent de leur vie. Je me suis sentie à se moment exact, plus puissante que jamais

Dans ma famille, il y avait... une pâtissière.

Dans une famille typique des années 1900, il y avait habituellement un bûcheron ou un cultivateur, mais mon arrière-grand-mère sortait décidément de l'ordinaire, car elle était pâtissière.


Son mari était cultivateur pour subvenir au besoin de leurs 15 enfants. Ils avaient des plants de légumes, de céréales et de plusieurs petits fruits. Pour passer le temps et du coup se faire un peu plus d'argent, elle a décidé de faire des tartes avec certains produits que sa famille cultivait et de les revendre au boulanger du village. Ces tartes étaient les meilleures du village et lui rapportaient quelques cents de plus pour sa famille. Elle aimait sentir qu'elle faisait sa part et qu'elle pouvait aider le boulanger. Sa recette de tarte était et reste délicieuse après toute ces années, car sa recette est maintenant celle de toute la famille.